Les sciences de la vie et de la Terre, une discipline enseignée en langue étrangère

Ce rapport permet tout d’abord de faire un état des lieux, en date du mois de novembre 2010, des modalités d’enseignement des sciences de la vie et de la Terre (SVT) en langue étrangère et des conséquences qu’elles emportent sur les pratiques pédagogiques.

Il étudie ensuite les conditions d’une véritable interaction entre les deux disciplines (langue étrangère et SVT) bénéfique à la formation des élèves. On y décrit comment cet enseignement contribue à l’acquisition de compétences linguistiques et de références culturelles sur les pays où la langue est parlée, et aussi, en retour, l’apport de tous ces éléments à la construction d’une culture scientifique.
Des pistes ou illustrations de pratiques d’enseignement sont proposées pour atteindre ces différents objectifs.
Ce rapport aborde également la question de l’évaluation des élèves et étudie, dans un souci d’harmonisation, les modalités d’évaluation certificative lors de l’épreuve du baccalauréat.
Il propose enfin des pistes pour la formation des professeurs qui se destinent à cet enseignement des sciences de la vie et de la Terre en langue étrangère et qui doivent pour cela obtenir la certification complémentaire correspondante.

Objet et plan du rapport
Ce document propose de faire le point en date de novembre 2010 sur une discipline, les sciences de la vie et de la Terre (SVT) enseignée en langue étrangère.

L’introduction replace l’enseignement d’une discipline en langue étrangère dans les contextes européen et international en tant qu’élément pouvant contribuer à la maîtrise à haut niveau, par tout citoyen français, d’une langue vivante.

La première partie fait un état des lieux des conditions d’enseignement de cette
discipline en langue étrangère et de ses conséquences sur les pratiques pédagogiques.
Dans la deuxième partie, il s’agit de montrer comment faire fonctionner ensemble les deux disciplines (langue étrangère et SVT) tout en respectant les contraintes et les exigences de qualité propres à chacune et en y apportant une plus-value ;
La troisième partie donne des pistes de pratiques d’enseignement et
d’évaluation avant d’envisager en quatrième partie, dans un souci d’harmonisation, les modalités d’évaluation certificative des élèves lors de l’épreuve du baccalauréat.
Enfin une cinquième et dernière partie se propose d’aider les professeurs à se former et à obtenir la certification complémentaire leur permettant d’enseigner les SVT en langue étrangère.

Voir en ligne : Les sciences de la vie et de la Terre, une discipline enseignée en langue étrangère

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